Lucile Sorin, présidente de Help Kampuchea
Lucile vit actuellement en Guyane française. Elle est médecin spécialiste en médecine interne et maladies infectieuses.
« Ma première rencontre avec les enfants au Cambodge fut un coup de foudre. Ils ont changé ma vie.
Depuis cette rencontre, Help Kampuchea a évolué, devant faire face aux difficultés de travailler dans un pays en voie de développement. Nos projets sont dorénavant orientés vers la santé, de par ma profession et aussi car nous sommes plus efficaces en apportant nos compétences et en développant la prévention au Cambodge. Chaque mission que nous accomplissons apporte une petite goutte d'eau dans la mer, mais n'est-ce pas déjà quelque chose ? »


Gérard Sorin, trésorier de Help Kampuchea
Gérard est actuellement à la retraite et vit à Rezé, commune proche de Nantes.
Il n'est autre que le père de Lucile, notre présidente, et a été très sensibilisé par nos premières actions. Il est un de nos premiers membres.
« Pas une seconde je n'ai hésité à m'engager dans l'association Help Kampuchea. Une association au service de la cause des enfants du Cambodge (c'est loin, on en parle peu hélas, mais quelle misère), une association portée par l'énergie et la motivation de Lucile, ma fille, tout cela est largement suffisant pour y adhérer et s'y impliquer. Et après un séjour sur place d'une quinzaine de jours, je suis encore plus convaincu de l'urgence et de la nécessité d'agir avec Help Kampuchea pour apporter tout ce qui peut faire le bonheur et l'avenir de ces enfants dont la leçon, qu'ils nous donnent avec innocence, est inépuisable : dans leur détresse, ils sourient toujours. »
Mathieu Noirot, secrétaire de Help Kampuchea
Mathieu vit à Toulouse. Il a commencé à travailler au sein de Help Kampuchea en 2015, en partant en mission comme kinésithérapeute et également en devenant membre de l'association. Il est de nouveau parti avec nous en 2017, pour une nouvelle mission humanitaire. Son engagement à nos côtés nous a amenés à lui proposer le poste de secrétaire de l'association, ce qu'il a immédiatement accepté.
« Ce qui m’a marqué le plus au Cambodge, c’est de voir cette énorme fracture sociale, sans aucune classe moyenne : des personnes très aisées, souvent en gros 4x4 blancs luxueux, et à côté des familles entières complètement abandonnées dans des bidonvilles, qui n’ont accès à rien, ni santé ni éducation… Et c’est là que nous pouvons intervenir ! »


Mathys Monier, chargé de développement
Mathys vit en Guyane française. Il est musicien et professeur de guitare.
Titulaire d’un DEM jazz, Mathys se produit régulièrement en Aquitaine depuis 2002 avec différentes formations allant du rock au jazz en passant par la pop et la soul.
« J’ai découvert le travail de Help Kampuchea en suivant Lucile et une équipe de bénévoles au Cambodge en août 2015. Ce fut une expérience qui me toucha énormément car l’aide apportée nous était rendue de manière incroyable par une reconnaissance profondément sincère.
J’ai donc sans hésitation décidé de m’investir dans ce projet en utilisant mon réseau artistique afin d’organiser des événements caritatifs ou encore mettre en place des échanges culturels avec le Cambodge. »
Sophie Brakha, graphiste de Help Kampuchea
Sophie vit et fait ses études à Toulouse, en France. Après avoir intégré une mise à niveau en arts appliqués, elle a obtenu le diplôme de BTS Design Graphique dans une école d’art à Toulouse. Elle poursuit actuellement ses études en graphisme et a proposé son aide au service de l'association Help Kampuchea, en parallèle de ses études.
« Travailler sur un projet caritatif tel que celui-ci, me permet de mettre en pratique mon savoir faire et mes connaissances, tout en apportant mon aide aux enfants du Cambodge. Mon rôle est de transmettre les valeurs, les objectifs et les actions de Help Kampuchea par des moyens graphiques originaux et impactants afin de sensibiliser le public à cette grande cause humanitaire. Ce projet m’amène à m’intéresser et à découvrir la culture du pays, ses valeurs de partage et de convivialité que j’essaye de transmettre à ma façon. »


Clara Lang, graphiste de Help Kampuchea
Clara est étudiante en illustration à l'ESMI de Bordeaux. Après un an de prépa, elle est entrée dans la section "illustration-bande dessinée" pour une formation sur trois ans. Suite à une collaboration avec Help Kampuchea, elle s'est engagée à continuer d'apporter son aide à l'association.
« J'ai découvert Help Kampuchea en cherchant une association avec laquelle je pouvais entreprendre mon projet de fin d'année, un dépliant illustré. C'était un projet bénévole, alors j'ai voulu en profiter pour apporter mon aide à une oeuvre humanitaire. L'idée était que ces dessins puissent sensibiliser plus de gens à ce que fait Help Kampuchea. Je pense qu'on devrait tous se sentir concernés par le droit des enfants à la santé et à l'éducation, car ils représentent l'avenir de ce monde. J'ai été très heureuse de participer à ce projet, qui m'a apporté de nouvelles connaissances et m'a en même temps donné le sentiment d'agir pour quelque chose de juste et d'important. »
Darong Chour, membre d'honneur
Darong travaille au sein de l'ONG Krousar Thmey, à Phnom Penh, en tant qu'assistant exécutif. Il apprend le français depuis une quinzaine d'années et est parfaitement bilingue. Il a étudié le droit et a obtenu une bourse de deux ans en France pour son master.
« Travailler pour la cause des enfants défavorisés a toujours été ma première ambition. En 2005, j’ai commencé à Kampong Cham à travailler pour les enfants des rues et les pauvres. Fin 2006, j’ai dû quitter Kampong Cham pour mes études supérieures à Phnom Penh. En 2011, j’ai rencontré une association française pour le Cambodge. J’ai décidé d’être bénévole pour cette association comme elle s'occupait des enfants des villages dans la province de Kampong Cham. Je reste toujours en contact avec cette association même si je suis rentré au Cambodge depuis.
Enfin, j’ai rencontré Lucile Sorin, la présidente de l’association Help Kampuchea début août 2014 au Cambodge. Je suis très content de pouvoir travailler pour les enfants qui portent toujours ce sourire si doux même après avoir subi les pires misères. »
